Amis, ennemis...le ménestrel que je suis vous le raconte...

Dernière édition par le Ven 11 Jan 2008 - 19:27, édité 1 fois

Citation :: face à Lorenz

Le Chevalier rencontra lorenz un jour de saint-Valentin
La fille semblait gentille et douce tel un séraphin
dhaillon se sachant femme sous les traits d’un garçon
Ne poussa pas trop loin le jeu de la séduction
C’est sans doute ce qui plut à la femelle, « un mâle » rebelle
Dhaillon clamait son esprit d’indépendance à qui voulait l’entendre
Lorenz n’avait de cesse de lui suggérer qu’en épouse elle se verrait bien prendre
« Vade retro satanas » pensait dhaillon, celle que j’épouserai n’est pas encore née
Jamais dhaillon ne susurra à Lorenz le mot que tout un chacune est en droit d’attendre
Gentillesse, galanterie, cadeaux mais de sa bouche ne sortit le verbe « aimer »
Le Chevalier n’eut pas le désir de révéler à Lorenz la réelle couleur de son plumage
Et pour ne point se sentir prisonnier davantage il lui laissa la liberté
Qu’à cela ne tienne, la Dame prête à tout le poursuivit des ses assiduités
Elle s’installa même chez lui sans l’avoir consulté au préalable
Dhaillon fut tout surpris de la trouver dans sa demeure
Elle avait déballé ses malles, son nécessaire et ses affaires en quelques heures
Dhaillon toujours pas prêt à divulguer son état finit par se faire à sa présence
Le Chevalier avait la mairie à gérer et Lorenz devait s’habituer à ses absences
Dhaillon finit par proposer à Lorenz qu’elle trouve une date afin qu’ils se fiancent
C’est sans aucun doute ce qui les sépara, le Chevalier avait cédé à ses avances
Ripailles furent organisées pour fêter dignement les fiançailles
Une semaine jour pour jour plus tard, c’était en mai, Lorenz rompit avec son fiancé
Elle devait lui donner comme excuse que le coup de foudre l’avait frappée
Et qui était l’heureux élu Melhcast bien entendu
Lorenz jura qu’elle avait aimé le chevalier jusqu’au jour de ladite confession
Mes Dames Messires, prêteriez-vous une quelconque véracité dans cette affirmation
C’est bizarre mais le Chevalier dhaillon s’est senti poussé les ailes du pigeon…
La jolie damoiselle de la Saint-Valentin venait de lui montrer le visage de la manipulation

Halle de Mortagne, août 1454

Sujet: Melhcast le "Grand" Sam 16 Sep 2006 - 16:25

Citation :: Melhcast le "Grand"

Le verbe facile, la politesse obséquieuse
Par un joli matin il arriva à Angoulême
Moi maire de cette ville j’en fus heureuse
Sa proposition de devenir policier ne me fit pas devenir blême
Je le fis donc nommer lieutenant de la maréchaussée
Tâche, ma foi, qu’il géra avec sérieux
Mais le Mel avait le ton ambitieux et la gent féminine était son péché
J’étais un « homme » et le rival dont il rêvait
De flagornerie il fit preuve tout au long de ces soirées
Rien ne pourrait séparer Mel et le Chevalier,
« Larrons en foire » serait le terme à utiliser
Et pourtant il ne put s’empêcher de faire la cours
Qui l’eut cru à Lorenz la compagne du Chevalier
Bel ami que ce flatteur, chasser le naturel il revient au galop
Lorenz par le beau parleur alléchée quitta sans remords son fiancé
Dhaillon eut fort à faire pour accuser le coup de cette trahison
La verve haute et le ton cinglant Dhaillon ne leur laissa pas de répit
Et un jour à sa grande joie les deux amants quittèrent leur nid
A verneuil ils arrivèrent, en Alençon, et sous un prétexte fallacieux
Le beau parleur fit fi de sa liaison avec celle qui était devenue un fardeau
Dhaillon n’était plus dans les parages, le passé était le passé
Verneuil regorgeait de beaux nouveaux plumages, pourquoi s’en priver
Mais ces deux là sont fait pour s’entendre arrogance et sournoiserie
Sont chez eux des maîtres mots qui n’incitent qu’à la grivoiserie
Et ils ont le toupet de faire des leçons aux autres…oui ils nous traînent dans la fange
Mégalomane que ce personnage qui se croit au dessus de tout soupçon…

Halle de Mortagne, août 1454.

Sujet: Jake_the_Saint Sam 16 Sep 2006 - 16:27

Citation :: Auréolons Jake_the_Saint

Jake_the_saint n’avait que le nom
Nous sommes encore loin de la canonisation
Lorsque dhaillon arriva en Alençon
Un seul homme brillait par ses interventions
Le bellâtre se pavanait sur la halle de Mortagne
Mais dhaillon fidèle à ses convictions
Ne jugea point l’homme sur son pagne
Le Chevalier lui fit même confiance
Et sa voix il lui donna aux élections
Jake fut élu maire de la ville « pétaudière »
Et choisit dhaillon comme conseiller aux filières
Le Conseil ducal n’avait plus la cote et l’orage gronda
La duchesse et son mari sur le bûcher étaient mis
A raison ou à tort au fond dhaillon n’en avait cure
De tous les mots que le peuple entonna
Révolte fut celui qui de nombreuses fois ressurgit
Chacun des protagonistes tirant vers lui la couverture
dhaillon fut contacté pour faire part à l’émeute
Le chevalier refusa poliment l’invitation
Préférant de loin la négociation
Des bruits coururent sur le maire en faction
Dhaillon n’écoutant que ses intuitions
Lui envoya sa démission
Fumée sans feu ou feu sans fumée
Telle est la question
Quoi qu’il en soi Jake n’admettra point l’intégrité du Chevalier

Halle de Mortagne, août 1454

Sujet: Réponse à Gawaine Sam 16 Sep 2006 - 16:29

Gawaine a écrit:: Gawaine entendit les propos du chavalier_dhaillon
Il la vit vêtue d’atours plus proches des haillons
Il écouta les propos de cette… saltimbanque ?...
Il se demanda si cela avait rapport avec trouvères
Que les terres d’oc troubadours nommèrent
De précisions pour choisir il en manque
Par le récit il est interloqué
Voire stupéfait et choqué

Mais que donc fait l’inquisition !
Ici j’ois personne qui fut homme un jour
Qui femme aujourd’hui se pavane au jour
Vite que l’on dresse bûcher pour raison
De nettoyer notre duché de la sorcellerie
De lui ôter toute forme de canaillerie

Gawaine se demandait si chevalière
Était chevalier ou joaillière

Citation :: Et pour répondre à Messire Gawaine
Qui sur une jument se promène
Le noble animal se dénommant sallem
L’inquisition brûla moult sorcières dans cette ville avec un « L »
C’est à Tréguier que je suis arrivée
Et avant d’être baptisée Devant Aristote
Au père Payns je me suis confessée
Je lui ai révélé que j’étais née petiote
Et si j’ai choisi de m’appeler Chevalier_dhaillon
C’est dans un souci de ne pas oublier mon originelle condition
Ainsi que de me cacher sous les traits dudit garçon
Il n’est donc point nécessaire de me mettre sur le bûché
L’église ayant été avisée de mon état d’ambiguïté
Le sieur Gawaine n’a donc pas de quoi être choqué
Je suis en parfaite harmonie avec mon intégrité
Et si de joaillerie il s’agit
Nous ne pouvons point dans mon cas
Parler de bijoux de famille
Une femme n’en étant pourvue ici bas

Halle de Mortagne, août 1454.

Sujet: Provocation de Melhcast Sam 16 Sep 2006 - 16:31

Melhcast a écrit:: Melhcast écouta avec curiosité ces chansons ainsi débitées, une attraction s'était-il dit un peu de divertissement ne ferait pas de mal.
Il sourit amusé à la première et de la saltimbanque il prit pitié. Lui jettant un écu d'un geste élancé, il lui tint à peu près ce langage.

Belle histoire saltimbanque, mais il manque une personne et pas la moins importante, qui par son apparitition et sa présence mettrait à bas tout le sens et la théorie de cette fabuleuse histoire. Une personne qui a toujours été présente d'hier et d'aujourd'hui.
Une chanson de quelque composition fut-elle, conserve sa part de véracité mais aussi sa part de mythe et légende et la vérité clamée haut et fort n'est que celle que l'on veut bien entendre puis chanter.

Prenant une pose théâtrale et essayant de peindre une expression de dramaturge sur son visage il continua.

Trois mois ont passé et toujours pas compris,
Que le fin mot de l'histoire est quelque part enfoui.
Trois long mois déjà ont passé
Une saltimbanque qui n'a point progressé.
D'homme devenu femme peut être la seule affirmation,
Qui n'a point été, le fruit d'une imagination.

Il éxecuta une courbette au comble de l'exagération.

Voici cet écu, faites en bon usage, puisse la bière que vous boirez avoir moins d'amertume que vos vers chantés.

Il lui adressa un dernier sourire et repartit en fredonnant dans sa tête la chanson ainsi écoutée.

Halle de Mortagne, août 1454.

Sujet: Persewal Sam 16 Sep 2006 - 16:32

Citation :: La passion faite rose

Le Chevalier rit à gorge déployée
Messire Melhcast avait même de la pitié
De cette compassion elle ne put que s’en étonner
Il y avait effectivement une tierce personne
Que donc ce nouveau son de cloche sonne
Et puisqu’à la saltimbanque il tendit la perche
Elle ne put que l’attraper au vol, là on la cherche
Dhaillon aurait préféré épargner cette rose
Mais étant donné que le Mel apprécie la prose
Dhaillon ne va point le priver d’une si belle chose
Depuis son arrivée à Angoulême Melhcast était en proie
À une florale obsession ma foi
A chaque heure et pensées la rose était sa cible préférée
Sur sa bannière était arborée une jolie fleur couleur de passion
Mais la douce Persewal sortait ses épines à chacune de ses propositions
Ce qui n’empêcha pas notre homme de butiner telle l’abeille ou plutôt le bourdon
Puisque résistance il y avait de la part de l’épineuse
Pourquoi ne pas courir les autres jupons
Melhcast n’hésita pas à faire la cours à la meilleure amie de Persewal, je cite Chonchon
Le chevalier avait une personnalité qui ne laissait point indifférent
Probablement, la jalousie, l’envie incitaient le butineur à se mettre à sa hauteur
Quel était donc le point faible de ce dhaillon si séduisant
Lorenz sa douce, qui n’avait d’yeux que pour son chevalier rieur et farceur
Le Chevalier ayant cédé, sa belle fut facilement appâtée par le faux-bourdon
Le trophée pouvait être exposé sur la cheminée mais ces deux là se comprennent comme larrons.
Melhcast recommença à courir dans la roseraie pour enfin séduire sa dulcinée
La seule jusqu’à présent qui lui résiste vaillamment, elle seule a le contrôle de sa destinée
A la place de la Dame je ne serais point fière de devoir le repousser
Et ce dans l'unique intention de rester sa préférée
Pour ne point devenir le nouveau butin de Sa Majesté
Le Chevalier fit une révérence très appuyée devant tant de « panache » artificiel
La saltimbanque pas cabot pour un sou prit l’écu et le mordit, Messire je vous remercie pour la rançon de mon fiel.

Sujet: La saltimbanque Sam 16 Sep 2006 - 16:35

Chev telle qu'elle est

La saltimbanque n’avait finalement que peu d’ennemis
Beaucoup appréciait sa présence et son humour
Et bien au contraire de ce qu’on pensait, elle n’était point aigrie
Elle avait ses humeurs et ses mauvais jours
Mais son auto dérision était une bonne thérapie
Son bagout sarcastique ne faisait point que des heureux
Elle se moquait éperdument de ce que disait ces rabat-joie
Au fond qui était de tous les plus gueux
Les donneurs de leçon, les bien pensants sournois
Ceux-là même qui juraient Grand Dieu
Ces grands « esprits » jouant les sérieux
Mais grattons un peu le vernis
Et que trouve-t-on, si ce n’est la lie
La saltimbanque s’appelle Chevalier_dhaillon
Son bon cœur n’a d’égal que son affection
Pour ceux qui le méritent elle donne sa chemise
Toutefois, les irrespectueux elle les méprise

Halle de Mortagne, août 1454.

Dernière édition par le Ven 11 Jan 2008 - 19:31, édité 1 fois

Vendôme, un beau matin j’arrivai en tes murs
Le père Girtan avait fait ton éloge, tu avais fière allure
J’étais séduite, je plaquai tout pour rejoindre ta verdure
Les mois ont passé et que dire, si ce n’est, quelle déconfiture
Bassesses, mesquineries, la tolérance n’est point ta devise
Certains de tes habitants chargent à coups de langue bifide
Confusion de la réalité et de l’imaginaire quelle méprise
Tes donneurs de leçon sont les premiers tendancieux, âmes putrides
La seule consolation que j’ai pu trouver ici bas est l’amour
Un vendômois très controversé, qui pour moi a maintes qualités
Il intervient avec spontanéité, les charognards l’attendent au détour
Je suis devenue sa compagne et on me reproche de le supporter
De quel droit tes gens s’immiscent-ils dans ma vie sentimentale
Mes préférences affectives doivent-elles discréditer tous mes actes
Je suis marquée du « B »au fer rouge, pour eux c’est la lettre du mal
Tes amants « maudits » sont jetés en pâture comme un double impact
Mais qu’importe, mon cœur pour lui est empli de tendresse
Rien ne nous séparera je bâtirai autour de nous une forteresse
La loyauté et la sincérité sont des idées qui nous rapprochent
Médisants et envieux mon quolibet sera la flèche que je vous décoche

Halle de Vendôme, novembre 1454.

Dernière édition par le Ven 11 Jan 2008 - 19:31, édité 1 fois

Le recteur de l’université de Touraine était un volubile notable
Son pseudonyme, Naelin, à consonance angloise,
Me faisait imaginer que le personnage était affable
Mes illusions furent bien vite balayées par sa riposte sournoise
Les halles tourangelles le connaissaient sous les traits d’un rongeur
Icône d’un coquet lapin, dont la face était barbouillée de rose, jolie couleur
Le personnage se fit d’emblée déplaisant dans chacune de ses interventions
Son mépris n’avait d’égal que sa suffisance, il déblatérait à foison
« Mais » était sa conjonction de coordination de prédilection
Dans l’avenir un troubadour belge et de génie chantera à l’unisson
« les bourgeois c’est comme les cochons, plus ça devient vieux, plus ça devient con »
La mauvaise foi du rongeant ne le grattera point longtemps, j’attends sa vile réaction

Halle de Vendôme, novembre 1454.

Dernière édition par le Ven 11 Jan 2008 - 19:34, édité 1 fois

L’oiseau cuculiforme nous aurait bien fait perdre notre latin
Sous ses airs de rondouillard et de charitable châtelain
Était caché un redoutable « Caius Julius » impérialiste démesuré
Un coléoptère, ma foi, de bon aloi, fut le symbole de sa propriété
Lumière étymologiquement issue de « luce » d’où le nom de ces bestioles
Brillant de mille auras durant la nuit ce sont les lucioles
Ces représentants trop zélés se valorisant grâces à ces jolies ailées
Mais toute lueur a son revers, l’été devient hiver, le soir devient journée.
L’auréole qui se dégageait du coucou fut noircie par sa mégalomanie
La déception du papillon fut telle qu’elle dû se résoudre à quitter sa famille.

Halle de Vendôme, novembre 1454.

Dernière édition par le Ven 11 Jan 2008 - 19:35, édité 1 fois

A cette différence que de Joséphine il n’avait
Qui sait au Moyen-âge Napoléon était peut-être un simplet
Mais quelle belle sensée s'enticherait de ce grigou
Toujours à l’affût pour darder sa vilenie à deux sous
Il sait complimenter, la flagornerie est son rayon
Que de gentils pigeons il a envoyé au Chevalier_dhaillon
Mais la douce Chev ne s’est point retournée sur ce vaniteux
De quelle manière pourrions-nous faire de cet égocentrique un amoureux
Il a choisi comme couleur d’apparat un vert criard, bien laid ma foi
C’est le ton de l’espérance, lui a dit notre curé Vendômois
L’Ammaleun camaïeux aurait-il un quelconque espoir ?
Que nenni sa vie est comblée par sa perfection illusoire
Toutefois, lorsqu’il se met à l’évidence de sa situation peu enviable
Ses frustrations ressortent et il devient cet être si détestable.

Halle de Vendôme, novembre 1454.

Sujet: l'errance de Solange S... Ven 11 Jan 2008 - 19:18

L’errance de Solange S….

La vagabonde n’est pas celle qu’on croit
C’est par pur snobisme qu’elle a fait ce choix
Son rêve, devenir Duchesse en chiffon
Elle espère être l’innovatrice de cette association
Depuis presque trente jours Solange S. est maire
Elle nous semble plus faite de « plasma » que de chair
Si silhouette spectrale erre telle un courant d’air
La luciole a fait allégeance à son empereur volatile
Mais au fond qu’a-t-elle fait de concret pour la ville ?
Nous sommes en droit de nous poser cette question
Le coléoptère adopté devra certainement faire fi de ses ambitions
Et ce n’est point le dernier Pamphlet de la création du Chevalier_dhaillon

Halle de Vendôme, novembre 1454

Admin Nombre de messages : 175 Age : 59 Date d'inscription : 20/08/2006

DonPerico a écrit:

Si Dhaillon de ses mots à briser son armure
alors de chevalier n'a plus que la tournure
car ses tristes vers sont pour railler son prochain
non point pour le bien, tout juste chagrin et malsain.

Bientôt la ville aura "Dhaillon fleure bon" pour maire
que ses vantardises soient fondées, ses mots moins amers
que son triste sire surtout reste à labourer sa terre
et que pour Vendôme sa Chev sache déjà le faire un peu taire.

Ah, ma bonne Chev, le taon vous a piqué d'un baiser
et doucement vous dénigrez les valeurs que vous avez aimée
mais désormais vous aurez mieux à faire que des pamplhets
votre fonction vous devrez honorer, à cette place puis-je vous adorer...

Chev lui répond:

Le pamphlet a pour principe d’éviter toute retenue
Que Donperico soit remercié pour son sage point de vue
Tant que la saltimbanque était délurée vous l’encensiez, vous l’aimiez
Prise pour une sotte sans cervelle, elle avait le don de vous amuser
Mais dhaillon a aussi un sens aiguisé de l’observation
La Ville de Vendôme est meurtrie par l’incompétence, triste constatation
Elle n’est que l’enjeu d’un nombre d’habitants qui n’ont de cesse de l’étouffer
Aucune vantardise, point de suffisance, juste une artiste en toute simplicité
Mais il est temps que le Chevalier reprenne son bouclier et son épée
Il désire défendre les valeurs qui sont les siennes en épaulant la communauté
Comme Marino aime le coucou, Chev aime son « triste sire », il est son prince charmant
Il est bien étrange que quand il s’agit du couple de châtelains le silence soit d’argent
Vous voulez faire de « Balaam et Chev » des amants maudits, le couple à occire
Demain je serai probablement maire, j’aurai bien assez à faire pour vous contredire

Halle de Vendôme, novembre 1454